mercredi 12 juillet 2017

Le Grand (Méchant) Retour

Coucou me revoilou ! après 4 ans d'absence,  presque jour pour jour ! Pour ceux qui me suivent de près, l'histoire a continué sur un autre blog dédié à notre petite fille et l'histoire de notre rencontre au Vietnam.

Et c'est d'ailleurs cette même petite fille qui m'a servi de prétexte pour aller voir au cinéma le week end dernier "Le Grand Méchant Renard" de Benjamin Renner et Patrick Imbert.  Benjamin Renner est un auteur de BD et réalisateur de films d'animation. C'est lui d'ailleurs qui a co-réalisé Ernest et Célestine, césar du meilleur film d'animation 2013. Patrick Imbert est un animateur qui a travaillé également sur Ernest et Célestine ainsi que sur Avril et le monde truqué

Adapté de la BD éponyme, le film est divisé en 3 histoires de 26 minutes. Toutes aussi drôles les unes que les autres. J'ai néanmoins une tendresse particulière pour la deuxième, ce pauvre renard qui aimerait tant être craint de tous - tel son ami le loup - et qui se retrouve malgré lui maman de trois petits poussins. J'aime beaucoup leurs voix aux petites boules jaunes. Le personnage du loup est bien vu, et Petit Michel craquant. Le graphisme des dessins est très beau, très épuré et tout en légèreté. Ca donne vraiment envie de savoir dessiner.


Clairement ce film s'adresse tout autant aux enfants qu'aux adultes qui y trouveront largement leur compte. Un film parfait pour l'été 

mercredi 31 juillet 2013

Louxor j'adore

Un dernier petit message avant le grand départ pour le Vietnam et la rencontre avec notre petite TH. Une nouvelle vie commence. Aurais-je encore le temps de vous écrire ???

Ce serait dommage car je viens seulement de comprendre après un an et demi de blog comment gérer les libellés ! Cf en haut à droite de votre écran. Vous pouvez maintenant cliquer directement sur un thème de votre choix pour faire apparaitre tous les messages relatifs à ce thème. Plus le thème est écrit en gros et plus il y a de messages associés.

Hier, ma copine C m'a invité à l'accompagner au cinéma Louxor tout nouvellement restauré. Vous avez sans doute déjà aperçu cette façade magnifique néo égyptienne toute décatie sur le Boulevard Magenta, à Barbès. Le bâtiment date de 1921 et est l'oeuvre de l'architecte Henri Zipcy. Dès l'origine le bâtiment est dédié au cinéma, et il le restera jusqu'en 1983, même si depuis 1970 on y passait que des films exotiques type bollywood et parfois même des films porno ! En 1983 le bâtiment est vendu à Tati qui souhaite l'aménager en énième magasin. Mais leur projet échoue car la façade et la toiture du bâtiment ont été classés monuments historiques en 1981, rendant difficile sa transformation. Le lieu est donc transformé pendant quelque temps en boite de nuit antillaise ("la Dérobade" puis gay ("Megatown") puis il ferme définitivement ses portes en 1988. Grâce aux associations de quartier qui se battent sans relâche depuis 2001, le Louxor est racheté à Tati par la Mairie de Paris en 2003 et rénové à partie de 2010. Il a rouvert ses portes le 17 avril dernier.

La rénovation extérieure est tout réussie je trouve; c'est kitsch certes mais car pas trop clinquant. L'intérieur est plutôt simple mais la salle 1 avec sa (fausse) verrière est magnifique. On se met au 1er balcon. "Jour de Fête" de Jacques Tati y est projeté. Ca tombe bien car c'est le seul Tati que je n'ai jamais vu et je trouve le clin d'oeil intéressant (les 2 Tati se faisant face !). Ce film est incroyable ! On y revit une fête de village dans la France d'après guerre et les tribulations de François le facteur qui fait sa tournée "à l'américaine". C'est d'un autre temps pourtant pas si lointain et on peut mesurer le chemin parcouru. Un document exceptionnel avec les facéties de Tati qui me font toujours rire. 
Un bémol toutefois : le confort des sièges est assez rudimentaire et c'est dommage.

Nous allons ensuite prendre un verre dans le petit café terrasse du Louxor. Superbe ! avec sa vue sur Barbès, on voit même un bout du Sacré Coeur !

Le Louxor en 1930
Le Louxor en 2013
La salle 1
Les luminaires


Bonnes vacances à tous !

samedi 13 juillet 2013

Séries de mon enfance

Je suis en train de préparer la chambre de THD. Du coup, j'ai récupéré les livres que j'avais quand j'étais petite et ça m'a fait repenser à certaines séries télévisées tombées dans l'oubli ou toujours rediffusées, celles de mes toutes premières années, et que j'ai pu retrouver. En voici un échantillon. Ceux ou celles de ma génération se souviendront sans doute.

Parmi les plus anciennes que j'ai retrouvées il y a "le petit train rébus" créé en 1961 et renommé en 1963 "le petit train de la mémoire", qui servait d'interlude pour l'ORTF. A l'époque il n'y avait pas de publicité pour séparer le émissions, et les problèmes techniques étaient plus fréquents. Le petit train disparaitra des écrans en 1974. Et vous souvenez-vous d"histoires sans paroles", une série créée en 1964 qui passait le dimanche soir vers 17h sur le 1ère chaine, ressortie dans les années 70 et qui prit fin eu 1986. Il s'agissait d'extraits de films burlesques muets du cinéma américain

Du côté des séries d'animation pour les tout petits qui sont encore présents dans toutes les mémoires car elles ont été rediffusées moultes fois il y a bien sûr "bonne nuit les petits" avec nounours, diffusé d'abord en noir et blanc (1962) puis en couleurs (1976) juste avant le journal télévisé du soir. Le "Manège enchanté" (1964) avec Père Pivoine, Margotte, Zébulon et surtout l'impayable "Pollux" avec son super accent british. Des mauvaises langues bien renseignées prétendent que le LSD était très présent lors de la création des épisodes. Scoop : Le fameux sucre de Pollux ne serait pas du sucre ! Il y avait également "Aglaé et Sidonie", "la maison de toutou (1967) ... " ou encore" Pépin la Bulle ! (1969)

Mais tout cela ne vaut pas mon chouchou d'entre tous, l'ours Colargol, création d'Olga Pouchkine qui fit sa première apparition à la TV en 1957. J'ai d'ailleurs pu acheter sur ebay une planche originale d'un album du pauvre petit ourson à la voix de casserole. Et aussi en 2ème chouchou Kiri le clown" (1966) et ses amis Ratibus, Laura et Piplet dont je garde un souvenir toujours ému. Plus rare et en version film il y avait aussi les histoires de Saturnin le petit canard (1965) avec des vrais animaux Je suis sure que vous l'aviez oubliez celui-là !






mardi 9 juillet 2013

Fondue chinoise - mode d'emploi

 

J'ai testé pour vous un resto de fondue chinoise. C'est un petit resto à deux pas de chez nous qui ne paie pas de mine mais qui est toujours bondé et super bien noté sur Trip Advisor. Un soir de frigo désespérément vide, nous nous y réfugions. 

Un signe positif : il y a beaucoup de clients asiatiques. On nous place à une table de quatre où une femme seule est déjà installée. La table est .. comment dire .. un peu spéciale. Imaginez-vous attablé(e) autour d'une plaque vitro-céramique ! Mon voisin de la table de droite, rouge écarlate, nous lance : "mef sur le piment ! je vous conseille de demander la version moyennement épicée". Je commande une fondue mixte crevette et viande variée, en version la moins épicée, prudence oblige. La serveuse m'apporte un bol et me briefe : "vous mangez d'abord les crevettes avec un peu de légumes et ensuite je vous apporterai le bouillon". Je m'exécute deréchef et dès la première bouchée le feu me monte au visage .. Je bénis mon voisin ! Je décide donc de sortir tout de suite et avec méthode tout le rouge de mon plat. Ma voisine, d'origine africaine, m'arrête tout de suite : "donnez le moi donnez le moi ! j'adore le piment !!". Je lui file tous les morceaux de mon assiette et F fait de même. Son plat n'est qu'une mer de piment ! Elle s'éclate !

Puis la serveuse rapplique avec une bouilloire et nous sert le bouillon dans le bol où surnagent encore quelques légumes bizarroïdes du type fleurs de lotus et châtaignes d'eau. A côté de ça elle nous apporte une grande assiette de viande de boeuf, d'agneau en tranches très fines, et des tripes (erkkkk) ainsi qu'une grande assiette d'autres légumes, vermicelles, tofu, herbes et salades. Puis elle nous allume les plaques en nous expliquant comment régler la chaleur. Ensuite c'est à nous de jouer : il suffit de faire tremper les morceaux de viande, de légumes ou la salade dans le bouillon, puis de les récupérer à l'aide des baguettes, et de les retremper dans les sauces soja ou cacahuètes (sauce satay) mises préalablement dans des coupelles et hop on enfourne ! Le tout en tatassant avec notre voisine.

Bilan : c'est pas mal, c'est frais, c'est sain, pas gras (pas d'huile) et pas cher (compter 10 à15 EUR) Il y a même des formules à volonté à 18 EUR. Mais personnellement je préfère les fondues laotiennes car ce sont les herbes fraiches qui font le goût et non le piment. Même si j'ai enlevé les piments ça reste fort (on a reniflé pendant tous le repas !) et ça dénature un peu le goût et je ne suis pas très fan des sauces proposées. Mais bon ça vaut le coup d'essayer.

Le resto avec les anciennes plaques


Au Ciel (ouvert du lundi au dimanche de 12h à 14h30 et de 19h à 22h15 - fermé le mercredi)
97 rue de charonne
75011 Paris
Métro Charonne
01 43 72 19 08


mardi 2 juillet 2013

Le Spielberg des 70's

J'ai en tête de voir (et revoir pour certains) la filmographie complète de Spielberg, par ordre chronologique s'il vous plait ! et jusqu'ici contre toute attente je ne suis franchement pas déçue. J'inclue dans sa filmo "Duel" réalisé en 1971 même s'il s'agit à la base d'un téléfilm car c'est quand même son premier grand succès. Vous l'avez sans doute vue cette horrible course poursuite entre un gros poids lourd conduit par un chauffeur qu'on ne voit jamais et un automobiliste lambda. Avec une montée en puissance du suspense insoutenable. C'est un très bon film que j'ai eu plaisir à revoir et qui lui vaudra le Grand Prix du Festival d'Avoriaz.

Spielberg avait 25 ans lorsqu'il le réalise. Avant cela il avait fait quelques courts métrages (dont "Amblin" qui lui ouvrira les portes d'Universal et qui deviendra le nom de sa maison de production) et des séries dont le premier épisode de la série Colombo. Après "Duel" qui ressortira en 1973 au cinéma, il tourne "Sugarland Express" (1974) tirée d'une histoire vraie, l'histoire d'un couple qui sort de prison et qui tente de récupérer l'enfant qui leur a été retiré. Une autre course poursuite plutôt façon road movie à travers le Texas avec de très belles images à la clé comme dans "Duel". Un très bon film qui fit pourtant à l'époque un gros flop mais obtint tout de même le prix du scénario à Cannes. Je vous le recommande.

La carrière de Spielberg aurait pu se terminer sur cet échec cuisant mais il n'en est rien car il a en tête de réaliser un film tiré d'un livre qu'il a dévoré : "Jaws", dont il fera le premier blockbuster de l'histoire du cinéma : "les Dents de la Mer" sorti en 1975. J'avais un peu peur de le revoir car je pensais que ça avait bien vieilli et j'ai été agréablement surprise. Je trouve que c'est un bon film et les effets spéciaux ne sont pas si mal pour l'époque. Le film vaudra d'ailleurs à son réalisateur trois oscars et une reconnaissance internationale.

"Rencontre du troisième type" que je viens tout juste de voir, est sorti en 1977. Spielberg s'essaie pour la première fois à la science fiction. Des "gentils" extra-terrestres tente d'entrer en contact avec les terriens. François Truffaut joue le rôle du scientifique (français) qui dirige la rencontre. Dans le rôle du héros on retrouve Richard Dreyfus qui jouait le spécialiste des requins dans les "dents de la mer".  Encore une bien bonne surprise. Le film remporta d'ailleurs de nombreux prix.

Un sans faute donc pour le moment pour Spielberg que je n'affectionnais pas particulièrement jusqu'alors. La machine Spielberg va-t-elle finir par s'enrayer ?

A suivre ...




dimanche 23 juin 2013

Janol Apin le polisson

 
Calme plat au niveau culturel en ce moment. Travaux de l'appart obligent. Alors cette semaine je vais vous parler d'un artiste qui n'a pas vraiment d'actualité en ce moment mais que j'aime bien et que ma plus fidèle lectrice m'a remis en mémoire récemment. Il s'agit de Janol Apin, un photographe comme je les aime, tel Philippe Ramette ou Pierre Javel, car il porte un regard amusé et décalé sur les choses. 

Sa série la plus célèbre est "Métropolisson" réalisée entre 1993 et 1997 prenant au pied de la lettre les noms de stations de métro, qui a fait l'objet d'un livre et fait encore parler d'elle 15 ans plus tard. La série "les ptits vélos" mettant en scène des cyclistes miniatures en décors réels datent de la même époque, ainsi que l'osée "le tour de Marie-France" dans laquelle les mêmes petits vélos découvrent le corps féminin. Etant passionné de vélo ils organisent d'ailleurs chaque année des courses de vélos miniatures avec des billes. Il a même été n° 4 aux qualifications parisiennes du Mondial des Billes et 12ème mondial !

Janol Apin a une vrai formation de photographe. Il a d'abord obtenu un diplôme de technicien de labo photo à l'Institut Audiovisuel (1988) puis un diplôme de portraitiste classique et une maîtrise de photographie à la chambre des métiers de Paris (1992). Il a commencé par être technicien/tireur pour l'AFP, l'Express et d'autres agences et fait son premier reportage sur la chute du mur de Berlin en 1989. Un de ses premiers travaux est "Comicalo" (1991), une série dans laquelle il demande à des artistes comiques de se mettre en scène avec de l'eau.

Ces dernières séries : gueules de mer (photo de poissons brute sur fond peint) et Chapel Noz (photos de nuit de chapelles bretonnes), série qui tranche avec les séries précédentes car il s'agit d'esthétique et de technique pur. Il n'y a pas le décalage habituel. Aurait-t-il grandit un peu et serait-il devenu plus sérieux ? Mystère car son dernier travail est sous le secret absolu.

La série Métropolisson en vidéo


 La série "les P'tits vélos"








dimanche 16 juin 2013

Touche pas à mon ptit dej !

Le petit dej c'est un moment que j'adore et je ne pourrais pas m'en passer. Je viens d'écouter en podcast une émission de radio qui lui a été consacrée (il s'agit d"on va déguster" sur France Inter qui passe le dimanche de 11h à midi.) Je vais donc essayer de vous retracer le petit dej idéal.

Pour commencer, savez-vous pourquoi le petit-déjeuner s'appelle ainsi ? Eh bien ça date de Louis XIV. A l'époque il y avait le déjeuner, le souper et le diner mais le roi était un lève-tard et ses courtisans en avaient marre d'attendre son lever pour pouvoir manger, et ils se sont donc fait un pré déjeuner, devenu le petit-déjeuner.

C'est un des repas les plus importants de la journée car c'est lui qui marque le top départ de la journée (on peut cependant le sauter si on a dîné tard la veille et qu'on est encore en pleine digestion). Il doit apporter de la dopamine, cette hormone qui donne de l'énergie et favorise la concentration. Et cette dopamine on la retrouve essentiellement dans les protéines animales (oeufs, viande, poisson, fromage). Les céréales avec leurs fibres sont également une bonne source de tonus et de vitalité. Et voilà donc la base du petit dej : protéines et céréales et un point c'est tout ! le reste n'est qu'accessoire, et peut même s'avérer néfaste. C'est le cas du sucre par exemple qui baisse l'immunité, finit par provoquer des intolérances alimentaires, déconcentre et est addictif. Bref en France on a donc tout faux. Alors quel est donc ce petit dej idéal type ? Mode d'emploi :

- 1 verre d'eau du robinet ou de source. ce doit être le1er geste : il détoxifie et ouvre l'appétit
- 1 oeuf (coque de préférence)
- 1 poisson (poisson gras c'est le top du top) ou viande (type jambon)
- 1 fromage (au lait cru, brebis, chèvre) ou éventuellement un yahourt
- pain complet ou semi complet, au levain, au noix pouvant être accompagné de beurre (en alternance avec biscottes ou céréales type porridge pour varier les céréales)
- 1 fruit frais (bien mieux que les jus type jus d'orange toujours trop sucrés)
On peut y ajouter une boisson chaude par goût personnel et non par nécessité :
- un café (sachant que le café est un excitant et non un énergisant et sachant que le café et le jus d'orange ou fruit ne font pas du tout bon ménage ; itou pour le café et le produit laitier car c'est plus difficile à digérer et ça provoque de la fatigue)
- un thé (thé vert de préférence car c'est mieux pour l'estomac) ou alternance thé vert thé noir

Et quid des bonnes tartines voire brioches, pancakes beurre confiture ?? Et bien apparemment si on ne peut pas s'en passer, il vaut mieux les réserver pour le week end. Si on veut vraiment du sucré il vaut mieux prendre du miel ou du sucre non raffiné complet ou non (éviter le sucre blanc). Et le sacro saint chocolat chaud de F ? Il vaut mieux le réserver au goûter car le cacao comme la banane et les amandes déclenche de la sérotonine, l'hormone de la bonne humeur et de la relaxation. 

Et ce qu'il faut vraiment proscrire ce sont les céréales de supermarché qui regorgent de sucre (plus de 50% en moyenne au lieu des 10% max recommandés), et de lipides (la recommandation est de 5g max). Un bol de céréales Smacks - qui sont loin d'être les pires car non fourrées de chocolat ou autre - équivaudrait à 8 à 10 morceaux de sucre. Les "Petit Déjeuner" de Lu rebaptisés Belvita et que j'ai consommés pendant longtemps contiendraient 20g de sucre et 15g de lipides et la version soi disant allégée en sucres contient 21g de sucres donc plus que la version sucrée ! c'est écrit dessus !! comme quoi on nous raconte vraiment n'importe quoi. Le mieux c'est de prendre le bon vieux porridge anglais, soit des flocons d'avoine mélangé dans du lait chauffé et agrémenté soit de sel soit de sucre. Et ça c'est vrai que c'est bon. J'en ai pris dans un hôtel de Londres où j'étais en déplacement récemment et je me suis régalée.

Ce sont donc bien nos amis anglais qui ont raison avec leurs oeuf/bacon/sausages/beans/porridge ou les allemands avec leur charcuterie fromage ou mieux les scandinaves avec leurs harengs marinés, poivrons marinés/pain complet, ou la plupart des asiatiques avec leurs soupes de riz bouillons de volaille ou de légumes.

Mais les habitudes ont la vie dure. Je ne suis pas sure d'être prête à troquer mon thé/tartine confiture/kiwi contre un petit déjeuner salé. Et puis encore faut il avoir le temps de le préparer ?



A lire ou à offrir ? (l'auteur du livre participait à l'émission)